Je n'ai qu'une langue, ce n'est pas la mienne [ Livre] : Des écrivains à l'épreuve / KAOUTAR HARCHI ; Préface de JEAN-LOUIS FABIANI
Langue : français.Publication : [Paris] : Pauvert, DL 2016, 18-Saint-Amand-Montrond : Impr. CPI BussiereDescription : 1 volume. 294 pages : illustré en noir et blanc, couverture illustrée en couleur ; 22 cmISBN : 9782720215490.Dewey : 840.996 5, 22Classification : Résumé : Suffit-il d'écrire dans la langue de Molière pour être reconnu comme un « écrivain français » ? Ou la littérature entretient-elle, en France, un rapport trop étroit avec la nation pour que ce soit si simple ? Amoureuse de sa langue, la France en est aussi jalouse. Pour tous ceux qui l'ont en partage ailleurs dans le monde, elle devient alors un objet de lutte, de quête et de conquête.Retraçant les carrières de cinq écrivains algériens de langue française (Kateb Yacine, Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Kamel Daoud et Boualem Sansal), Kaoutar Harchi révèle qu'en plus de ne s'obtenir qu'au prix d'authentiques épreuves, la reconnaissance littéraire accordée aux écrivains étrangers n'est que rarement pleine et entière. Car si la qualité du style importe, d'autres critères, d'ordre extra-littéraire, jouent un rôle important.Souvent pensée en termes de talent, de don, de génie, la littérature n'est-elle pas, aussi, une question politique ? [source éditeur].Sujet - Nom commun: 1201 | 846Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Notes | Date de retour prévue |
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Littérature, Langues et Religions | Bibliothèque Universitaire Mohamed Sekkat 3ème étage | 840.996 5 HAR (Parcourir l'étagère) | Disponible | New 2017 |
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840.92 ART Antonin Artaud | 840.992 82 TAR Contes des mille & une nuits | 840.996 4 LAH Le Maroc des heures françaises | 840.996 5 HAR Je n'ai qu'une langue, ce n'est pas la mienne | 841 ABE Le chant des blessures | 841 ATO Les questions ou l'hymne au tiers monde | 841 BAB Le souffle des mots |
Suffit-il d'écrire dans la langue de Molière pour être reconnu comme un « écrivain français » ? Ou la littérature entretient-elle, en France, un rapport trop étroit avec la nation pour que ce soit si simple ? Amoureuse de sa langue, la France en est aussi jalouse. Pour tous ceux qui l'ont en partage ailleurs dans le monde, elle devient alors un objet de lutte, de quête et de conquête.Retraçant les carrières de cinq écrivains algériens de langue française (Kateb Yacine, Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Kamel Daoud et Boualem Sansal), Kaoutar Harchi révèle qu'en plus de ne s'obtenir qu'au prix d'authentiques épreuves, la reconnaissance littéraire accordée aux écrivains étrangers n'est que rarement pleine et entière. Car si la qualité du style importe, d'autres critères, d'ordre extra-littéraire, jouent un rôle important.Souvent pensée en termes de talent, de don, de génie, la littérature n'est-elle pas, aussi, une question politique ? [source éditeur]
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