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Je n'ai qu'une langue, ce n'est pas la mienne [ Livre] : Des écrivains à l'épreuve / KAOUTAR HARCHI ; Préface de JEAN-LOUIS FABIANI

Auteur principal: Harchi, Kaoutar, 1987, Auteur IdrefAuteur secondaire: Fabiani, Jean-Louis, 1951-....Langue : français.Publication : [Paris] : Pauvert, DL 2016, 18-Saint-Amand-Montrond : Impr. CPI BussiereDescription : 1 volume. 294 pages : illustré en noir et blanc, couverture illustrée en couleur ; 22 cmISBN : 9782720215490.Dewey : 840.996 5, 22Classification : Résumé : Suffit-il d'écrire dans la langue de Molière pour être reconnu comme un « écrivain français » ? Ou la littérature entretient-elle, en France, un rapport trop étroit avec la nation pour que ce soit si simple ? Amoureuse de sa langue, la France en est aussi jalouse. Pour tous ceux qui l'ont en partage ailleurs dans le monde, elle devient alors un objet de lutte, de quête et de conquête.Retraçant les carrières de cinq écrivains algériens de langue française (Kateb Yacine, Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Kamel Daoud et Boualem Sansal), Kaoutar Harchi révèle qu'en plus de ne s'obtenir qu'au prix d'authentiques épreuves, la reconnaissance littéraire accordée aux écrivains étrangers n'est que rarement pleine et entière. Car si la qualité du style importe, d'autres critères, d'ordre extra-littéraire, jouent un rôle important.Souvent pensée en termes de talent, de don, de génie, la littérature n'est-elle pas, aussi, une question politique ? [source éditeur].Sujet - Nom commun: 1201 | 846
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Littérature, Langues et Religions Littérature, Langues et Religions Bibliothèque Universitaire Mohamed Sekkat
3ème étage
840.996 5 HAR (Parcourir l'étagère) Disponible New 2017

Suffit-il d'écrire dans la langue de Molière pour être reconnu comme un « écrivain français » ? Ou la littérature entretient-elle, en France, un rapport trop étroit avec la nation pour que ce soit si simple ? Amoureuse de sa langue, la France en est aussi jalouse. Pour tous ceux qui l'ont en partage ailleurs dans le monde, elle devient alors un objet de lutte, de quête et de conquête.Retraçant les carrières de cinq écrivains algériens de langue française (Kateb Yacine, Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Kamel Daoud et Boualem Sansal), Kaoutar Harchi révèle qu'en plus de ne s'obtenir qu'au prix d'authentiques épreuves, la reconnaissance littéraire accordée aux écrivains étrangers n'est que rarement pleine et entière. Car si la qualité du style importe, d'autres critères, d'ordre extra-littéraire, jouent un rôle important.Souvent pensée en termes de talent, de don, de génie, la littérature n'est-elle pas, aussi, une question politique ? [source éditeur]

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