Des figuiers entouraient les cuisines ; un bois de sycomores se plongeait jusqu’à des masses de verdure,où des grenades resplendissaient parmi les touffes blaches des cotonniers ; des vignes, chargées de grappes, montaient dans le branchage des pin : un champs de roses s'epanouissait sous les platanes ; de place en place sur des gazons, se balançaient des lis ; un sable noir, mêlé à de la poudre de corail,parsemait les sentiers,et, au milieu, l'avenue des cyprès faisait d'un bout à l'autre comme une double colonnade d'obélisques verts