PENSER L'ÉCOLE, PENSER LA SOCIÉTÉ : réflexions sociologiques sur l'éducation au Maroc / RAHMA BOURQIA [ Livre]
Langue : français.Publication : Casablanca : Editions la croisée des chemins, DL 2017., impr 2017., Casablanca, Casablanca : A. Retnani , 2017.Description : 1 volume 210 pages : couverture illustrée en noir et blanc ; 21 cm.ISBN : 9789954106433.Classification : Résumé : L’école est aujourd’hui incrustée dans la société, elle subit sa dynamique et se trouve confrontée à ses grands défis. Entre l’école et la société fonctionne l’effet de miroir. L’école renvoie à la société sa propre image. La société à son tour rejette l’image d’une école qui lui renvoie sa propre image. Il en résulte que le produit de l’éducation est dévalorisé et critiqué, et que l’institution éducative perd sa capacité à mener la société vers « la grande transformation » et vers un progrès accompli. Il est évident que l’école, sans se surélever au-dessus de la société au point d’en être dissociée, est supposée constituer sa conscience et non pas son image. C’est en étant sa conscience qu’elle pourrait être le moteur qui propulse la société marocaine dans l’avenir.Sujet - Nom commun: 1874 | 2766Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Notes | Date de retour prévue |
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Livre | Bibliothèque Universitaire Mohamed Sekkat Rez de chaussee | 306.43 BOU (Parcourir l'étagère) | Disponible | NEW 2019 | |
Livre | Bibliothèque Universitaire Mohamed Sekkat Rez de chaussee | 306.43 BOU (Parcourir l'étagère) | Disponible | NEW 2019 |
Bibliographie pages 197-208
L’école est aujourd’hui incrustée dans la société, elle subit sa dynamique et se trouve confrontée à ses grands défis. Entre l’école et la société fonctionne l’effet de miroir. L’école renvoie à la société sa propre image. La société à son tour rejette l’image d’une école qui lui renvoie sa propre image. Il en résulte que le produit de l’éducation est dévalorisé et critiqué, et que l’institution éducative perd sa capacité à mener la société vers « la grande transformation » et vers un progrès accompli. Il est évident que l’école, sans se surélever au-dessus de la société au point d’en être dissociée, est supposée constituer sa conscience et non pas son image. C’est en étant sa conscience qu’elle pourrait être le moteur qui propulse la société marocaine dans l’avenir
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