DIX-SEPT ANS [Littérature, Langues et Religions] : roman / ÉRIC FOTTORINO
Langue : français.Publication : Paris : GALLIMARD, DL 2018., Cop 2018., Impr 2018.Description : 1 volume de 262 pages : Couverture illustrée en couleurs ; 21 cm.ISBN : 9782070141128.Classification : Résumé : "Lina n'était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J'en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprenais pas ces sautes d'humeur, ces sautes d'amour". Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l'étouffe. En révélant une souffrance insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l'adolescence se révèle dans toute son humanité et son obstination à vivre libre, bien qu'à jamais blessée. Une trentaine d'années après Rochelle, Eric Fottorino apporte la pièce manquante de sa quête identitaire. A travers le portrait solaire et douloureux d'une mère inconnue, l'auteur de Korsakov et de L'homme qui m'aimait tout bas donne ici le plus personnel de ses romans.Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Notes | Date de retour prévue |
---|---|---|---|---|---|
Littérature, Langues et Religions | Bibliothèque Universitaire Mohamed Sekkat 3ème étage | 843 FOT (Parcourir l'étagère) | Disponible | NEW 2019 |
Survol Bibliothèque Universitaire Mohamed Sekkat Étagères , Localisation : 3ème étage Fermer le survol d'étagère
843 FLI L'anfant qui grimpait jusqu'au ciel | 843 FOL Même le mal se fait bien | 843 FON Fables | 843 FOT DIX-SEPT ANS | 843 FOU Où on va, papa ? | 843 FOU Entre ciel et Lou | 843 FOU Le Grand Meaulnes |
"Lina n'était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J'en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprenais pas ces sautes d'humeur, ces sautes d'amour". Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l'étouffe. En révélant une souffrance insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l'adolescence se révèle dans toute son humanité et son obstination à vivre libre, bien qu'à jamais blessée.
Une trentaine d'années après Rochelle, Eric Fottorino apporte la pièce manquante de sa quête identitaire. A travers le portrait solaire et douloureux d'une mère inconnue, l'auteur de Korsakov et de L'homme qui m'aimait tout bas donne ici le plus personnel de ses romans
Il n'y a pas de commentaire pour ce document.