Journal d'un amour perdu [Littérature, Langues et Religions] / Éric-Emmanuel Schmitt
Langue : français.Publication : Paris : Albin Michel, DL 2019., Cop 2019.Description : 1 volume de 250 pages : couverture en couleurs + jacquetees illustrée en couleurs ; 21 cm.ISBN : 9782226443892.Dewey : 848.920 3 (oeuvre), 23Classification : Résumé : « Maman est morte ce matin et c'est la première fois qu'elle me fait de la peine. » Pendant deux ans, Eric-Emmanuel Schmitt tente d'apprivoiser l'inacceptable : la disparition de la femme qui l'a mis au monde. Ces pages racontent son « devoir de bonheur » : une longue lutte, acharnée et difficile, contre le chagrin. Demeurer inconsolable trahirait sa mère, tant cette femme lumineuse et tendre lui a donné le goût de la vie, la passion des arts, le sens de l'humour, le culte de la joie.Ce texte explore le présent d'une détresse tout autant que le passé d'un bonheur, tandis que s'élabore la recomposition d'un homme mûr qui n'est plus « l'enfant de personne ». Éric-Emmanuel Schmitt atteint ici, comme dans La nuit de feu, à l'universel à force de vérité personnelle et intime dans le deuil d'un amour. Il parvient à transformer une expérience de la mort en une splendide leçon de vie.Sujet - Nom commun: Mères -- Mort Sujet - Forme: Récits personnelsType de document | Site actuel | Cote | Statut | Notes | Date de retour prévue |
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Littérature, Langues et Religions | Bibliothèque Universitaire Mohamed Sekkat 3ème étage | 848.920 3 SCH (Parcourir l'étagère) | Disponible | New 2020 |
« Maman est morte ce matin et c'est la première fois qu'elle me fait de la peine. » Pendant deux ans, Eric-Emmanuel Schmitt tente d'apprivoiser l'inacceptable : la disparition de la femme qui l'a mis au monde. Ces pages racontent son « devoir de bonheur » : une longue lutte, acharnée et difficile, contre le chagrin. Demeurer inconsolable trahirait sa mère, tant cette femme lumineuse et tendre lui a donné le goût de la vie, la passion des arts, le sens de l'humour, le culte de la joie.Ce texte explore le présent d'une détresse tout autant que le passé d'un bonheur, tandis que s'élabore la recomposition d'un homme mûr qui n'est plus « l'enfant de personne ». Éric-Emmanuel Schmitt atteint ici, comme dans La nuit de feu, à l'universel à force de vérité personnelle et intime dans le deuil d'un amour. Il parvient à transformer une expérience de la mort en une splendide leçon de vie
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