Droit civil les choses/ / DROSS, William [ Livre]
Langue : français.Mention d'édition: 1°éditionPublication : : : LGDJ, Lextenso éditions, édition Alpha,, 2012Description : 982p.; ; 25cmISBN : 978-2-275-03893-3.Résumé : Il y est question des choses. Le terme "bien", plus habituel, à la fois trop large et trop étroit, rendrait mal compte de l'objet étudié. Trop large parce que, ramenée à la valeur, la notion de bien s'est aujourd'hui exagérément enflée. Trop étroit aussi, car les choses communes ou hors commerce nous intéressent, alors qu'elles ne sont pas considérées comme des biens. Ces choses sont d'abord corporelles, mobiliéres ou immobiliéres, puisque la matiére s'est construite à leur contemplation, mais elles sont aussi ces choses incorporelles dont l'appréhension par ce vieux droit est un défi qu'il reléve avec une vitalité qui témoigne de la solidité de ses concepts clés. L'homme met les choses à son service, traiter des choses, c'est non seulement les envisager en elles-mêmes mais encore étudier les maniéres dont l'individu les accapare..Sujet - Nom commun: Droit civil Sujet: Les rapports de la personne aux choses, le rapport de droit: l'appropriation, le rapport de fait: la possession, les choses en rapport avec la personne, les choses corporelles, les choses incorporellesType de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue |
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Livre | Bibliothèque de la Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales Mohammedia Rez de chaussee | 347.1/DRO (Parcourir l'étagère) | Disponible |
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Il y est question des choses. Le terme "bien", plus habituel, à la fois trop large et trop étroit, rendrait mal compte de l'objet étudié. Trop large parce que, ramenée à la valeur, la notion de bien s'est aujourd'hui exagérément enflée. Trop étroit aussi, car les choses communes ou hors commerce nous intéressent, alors qu'elles ne sont pas considérées comme des biens. Ces choses sont d'abord corporelles, mobiliéres ou immobiliéres, puisque la matiére s'est construite à leur contemplation, mais elles sont aussi ces choses incorporelles dont l'appréhension par ce vieux droit est un défi qu'il reléve avec une vitalité qui témoigne de la solidité de ses concepts clés. L'homme met les choses à son service, traiter des choses, c'est non seulement les envisager en elles-mêmes mais encore étudier les maniéres dont l'individu les accapare.
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