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100 _a20150213 frey50
101 _afre
200 1 _aLa société des individus
_bLIVR
_fNorbert Elias.
_gTraduit de l'allemand par Jeanne Étoré.
_gAvant-propos de Roger Chartier.
210 _aParis
_cPocket
_dDL 1997
215 _a1 volume 301 pages
_d18 cm.
_cillustrée en noir et blanc , couverture illustrée en couleurs
225 0 _aAgora
_x0296-7685
_v163
330 _aPour Elias, les individus sont liés les uns aux autres par des liens de dépendance réciproques qui constituent la société même. C'est sous l'effet de cette imbrication que les comportements se sont modifiés au fil des siècles. L'idée moderne de l'individu – cet idéal du moi qui veut exister par lui-même – n'est apparue en Occident qu'au terme d'un long processus, qui est indissociable de la domination des forces de la nature par les hommes et de la différenciation progressive des fonctions sociales. L'individu et la société ne sont donc pas deux entités distinctes, et la dépendance croissante des États les uns à l'égard des autres place les hommes dans un processus d'intégration au niveau planétaire. La création des Nations unies et de la Banque mondiale en a été l'une des premières expressions. Le développement d'une nouvelle éthique universelle et, surtout, les progrès d'une conscience d'appartenance à l'humanité tout entière en sont des signes évidents. Un recueil de trois articles clés dans l'œuvre d'Elias, trois étapes majeures de sa réflexion sur le rapport civilisation, individu et sociétés
606 _96791
_aSociétés
700 _aElias
_bNorbert
_f1897-1990
_4070
_97790
801 3 _aFR
_bAbes
_c20150129
_gAFNOR