000 03474cam0a2200409 4500
090 _a154187
_9154186
001 187575738
005 20180307115502.0
010 _a9782070145959
_bbr.
_d22,50 EUR
020 _b01541313
021 _bDLE-20150623-37371
035 _a(OCoLC)921585090
035 _aFRBNF443615710000005
_zFRBNF44361571
035 _aflora724529
035 _a726029
035 _a384558
035 _aALP576464
073 1 _a9782070145959
100 _a20150810h20152015m y0frey50 ba
101 1 _afre
105 _ay z 000ay
106 _ar
200 1 _aD'ailleurs, les poissons n'ont pas de pieds
_echronique familiale
_eroman
_fJón Kalman Stefánsson
_gtraduit de l'islandais par Éric Boury
_bLLR
210 _aParis
_cGallimard
_dDL 2017
_dcop. 2015
_dimpr. 2017
_e61-Lonrai
_gNormandie roto impr.
215 _a1 volume de 442 pages
_cjaquette illustrée en couleur
_d21 cm.
225 0 _aDu monde entier
330 _aLa 4e de couverture indique : "«Elle est plus belle que tout ce qu'il a pu voir et rêver jusque-là, à cet instant, il ne se souvient de rien qui puisse soutenir la comparaison, sans doute devrait-il couper court à tout ça, faire preuve d'un peu de courage et de virilité, pourtant il ne fait rien, comme s'il se débattait avec un ennemi plus grand que lui, plus fort aussi, c'est insupportable, il serre à nouveau les poings, récitant inconsciemment son poème d'amour. Elle s'en rend compte et lui dit, si je dénoue mes cheveux, alors tu sauras que je suis nue sous ma robe, alors tu sauras que je t'aime.» Ari regarde le diplôme d'honneur décerné à son grand-père, le célèbre capitaine et armateur Oddur, alors que son avion entame sa descente vers l'aéroport de Keflavík. Son père lui a fait parvenir un colis plein de souvenirs qui le poussent à quitter sa maison d'édition danoise pour rentrer en Islande. Mais s'il ne le sait pas encore, c'est vers sa mémoire qu'Ari se dirige, la mémoire de ses grands-parents et de leur vie de pêcheurs du Norðfjörður, de son enfance à Keflavík, dans cette ville «qui n'existe pas», et vers le souvenir de sa mère décédée. Jon Kalman Stefánsson entremêle trois époques et trois générations qui condensent un siècle d'histoire islandaise. Lorsque Ari atterrit, il foule la terre de ses ancêtres mais aussi de ses propres enfants, une terre que Stefánsson peuple de personnages merveilleux, de figures marquées par le sel marin autant que par la lyre. Ari l'ancien poète bien sûr, mais aussi sa grand-mère Margret, que certains déclareront démente au moment où d'autres céderont devant ses cheveux dénoués. Et c'est précisément à ce croisement de la folie et de l'érotisme que la plume de Jón Kalman Stefánsson nous saisit, avec simplicité, de toute sa beauté."
410 _000102647X
_tDu monde entier (Paris)
_x0750-7879
454 _tFiskarnir hafa enga fætur
_dcop. 2013
606 _3029342651
_aRoman islandais
_3050665391
_z21e siècle
_3029051428
_xTraductions françaises
_2rameau
608 _3029342651
_aRoman islandais
_3050665391
_z21e siècle
_3029051428
_xTraductions françaises
_2rameau
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
686 _2DEWBSG
700 _3152784276
_aJón Kalman Stefánsson
_f1963-....
_4070
_92863
702 _3081496729
_aBoury
_bÉric
_4730
_92865
_f1967-....
801 3 _aFR
_bAbes
_c20160208
_gAFNOR
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c20150623
_gAFNOR
_2intermrc