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106 _ar
200 1 _aLA PENSÉE QUI PREND FEU
_bLLR
_eArtaud le Tarahumara
_fMICHEL ONFRAY
210 _aParis
_cGallimard
_dDL 2018.
_dcop 2018.
215 _a1 volume 92 pages
_d19 cm.
_cCouverture illsutrée en couleurs
300 _aBibliographie 1 page
330 _aComme il l'avait fait précédemment avec Gauguin et Segalen aux Marquises, Michel Onfray a suivi les traces d'Artaud au pays des Tarahumaras. En 1936, Artaud cherche au Mexique un remède à l'inéluctable décadence de l'Occident et de l'Orient civilisés, en même temps qu'à ses propres tourments. Pourquoi cet esprit libre et souffrant s'intéresse-t-il au Popol-Vuh à une époque où seuls Le Capital et Freud captivent l'intelligentsia ? Artaud, qui rêve de trouver dans les rites précolombiens un moyen de rédemption, rentrera chez lui les mains vides et le coeur brûlé au spectacle d'une civilisation anéantie par la chrétienté et la modernité. Quatre-vingts ans plus tard, Michel Onfray découvre à son tour ce qui reste des Tarahumaras et de leurs rites : un peuple acculturé, détruit par la tuberculose et l'électricité, vidé de sa mémoire, promis à la disparition - comme tant d'autres peuples "premiers" décimés par les conquêtes coloniales et religieuses. On retrouve ici la méthode de pensée de Michel Onfray, et sa ligne directrice : marcher sur les pas des grands réfractaires, dans les lieux de leurs visions fondamentales, et prolonger leur réflexion sur la décadence et la mort des civilisations
600 _aArtaud
_bAntonin
_f1896-1948
_xCritique et interprétation
_2rameau
606 _aLittérature française
_9360
676 _a848.92 (oeuvre)
_v23
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _a Onfray
_b Michel
_f1959-....
_4070
_96717
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c20181017
_gAFNOR
_2intermrc