000 01337nam a22002533 4500
001 u24414
003 SIRSI
010 _a2-7071-0814-6
090 _a191489
_9191488
100 _a04032013f1976 m y0frey50 ba
101 0 _afre
102 _aFR
200 1 _aLes Amandiers sont morts de leurs blessures
_bLIVR
_a(suivi de) Cicatrices du soleil
_a(et) Le Discours du chameau
_fTahar Ben Jelloun
205 _a1ERE EDITION
210 _aParis
_cF. Maspero
_d1976
_e95-Ézanville
_gimpr. Gouin
215 _a268 p.
_cill., couv. ill.
_d20 cm
225 _aCollection Points
330 _aPoète autant que romancier,Tahar Ben Jelloun laisse sourde dans ces pages une voix toute empreinte de son Maroc natal: l'airet le soleil, les odeurs et les musiques, les paysages ma- giques, majestueux, tragiques parfois, où passent et disparaissent hommes, femmes et en- fants... C'est tout un chant de mémoire, libre et pudique, rêveur et mélancolique que ces poèmes font naître. Un chant qui a perdu son innocence et qui s'interroge, aussi, sur l'écri- ture qui le nourrit, sur la mort, le devenir du monde et des hommes.
410 _tPoints
_v543
606 1 _aLitérature en générale
675 _a82-14/BEN-543
700 _aBen Jelloun
_bTahar
_f1944-...
596 _a2
999 _wUDC
_c1
_lSTACKS
_mFSJESM
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_sY
_tLIVR
_u10/23/2013
_xBIB
_o.STAFF. F9497