000 | 01715cam a2200241 4500 | ||
---|---|---|---|
001 | u96490 | ||
003 | SIRSI | ||
010 | _a978-2-275-03893-3 | ||
090 |
_a210732 _9210731 |
||
100 | _a20230608 frey50 | ||
101 | 0 | _afre | |
200 | 1 |
_aDroit civil les choses/ _fDROSS, William _bLIVR |
|
205 | _a1°édition | ||
210 |
_a: _cLGDJ, Lextenso éditions, édition Alpha, _d2012 |
||
215 |
_a982p.; _d25cm |
||
330 | _aIl y est question des choses. Le terme "bien", plus habituel, à la fois trop large et trop étroit, rendrait mal compte de l'objet étudié. Trop large parce que, ramenée à la valeur, la notion de bien s'est aujourd'hui exagérément enflée. Trop étroit aussi, car les choses communes ou hors commerce nous intéressent, alors qu'elles ne sont pas considérées comme des biens. Ces choses sont d'abord corporelles, mobiliéres ou immobiliéres, puisque la matiére s'est construite à leur contemplation, mais elles sont aussi ces choses incorporelles dont l'appréhension par ce vieux droit est un défi qu'il reléve avec une vitalité qui témoigne de la solidité de ses concepts clés. L'homme met les choses à son service, traiter des choses, c'est non seulement les envisager en elles-mêmes mais encore étudier les maniéres dont l'individu les accapare. | ||
345 | _b16253/1 | ||
606 | 1 | _aDroit civil | |
610 | 0 | _aLes rapports de la personne aux choses, le rapport de droit: l'appropriation, le rapport de fait: la possession, les choses en rapport avec la personne, les choses corporelles, les choses incorporelles. | |
675 | _a347.1/DRO | ||
700 | 1 |
_aDROSS, _bWilliam: _cProfesseur |
|
596 | _a2 | ||
999 |
_wUDC _c1 _lSTACKS _mFSJESM _rY _sY _u4/2/2014 _xBIB _o.ACQ_DATE. Mai 2013 |