000 | 02975cam0a2200217 4500 | ||
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090 |
_a92900 _992900 |
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005 | 20171009110958.0 | ||
010 |
_a9782718606941 _bbr. _d35 EUR |
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073 | 1 | _a9782718606941 | |
100 | _a20130507 frey50 | ||
101 | _afre | ||
200 | 1 |
_aViolence et civilité _bLIVR _eWellek Library Lectures et autres essais de philosophie politique _fÉtienne Balibar. _gCET OUVRAGE A ÉTÉ PUBLIÉ AVEC LE CONCOURS DU CENTRE NATIONAL DU LIVRE |
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210 |
_aParis _cGalilée _dDL 2010 _dCop 2010 _dimpr 2010 |
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215 |
_a1volume de 416 pages _d24 cm. _cCouverture illustrée en couleur. |
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225 | 2 |
_aLa philosophie en effet _x0768-2395 |
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317 | _aDon du Dépot Légal 2010. 8 DL 2178 | ||
330 | _aLes origines de ce livre remontent à un exposé, " Violence et politique ", présenté en 1992 à la décade de Cerisy autour de Jacques Derrida, " Le passage des frontières ". Il s'articule en deux ensembles: l'adaptation française, fidèle à l'original, des Wellek Library lectures de 1996 à Irvine, " Extreme Violence and the Problem of Civility ", et une série de textes plus récents (rédigés entre 2001 et 2006) qui tentent d'articuler les catégories de la guerre, de la souveraineté, de la révolution et de la lutte des classes. La conclusion est un essai de 2003 " sur les limites de l'anthropologie politique " et la pensée moderne de la tragédie. Le livre propose une réflexion sur l'autre scène de la politique où son rapport constitutif à la violence n'est plus normalisé par le droit, les institutions, l'idéologie qui opèrent la " conversion " de l'extrême violence. Il cherche à dessiner une topographie de la cruauté, où viennent se superposer sans se confondre ses formes ultra-subjectives (délires d'identité, extermination, vengeance de la loi) et ultra-objectives (surexploitation capitaliste, production et élimination de la vie comme déchet). Il engage une comparaison des stratégies de civilité qui se partagent la possibilité de formuler un concept de la politique comme anti-violence, telles que les ont esquissées différents courants de la philosophie contemporaine. La critique des positions de Marx et des marxistes occupe ici une position centrale. Mais il faut la replacer dans une généalogie plus longue et plus conflictuelle, remontant à Hegel et Clausewitz et se confrontant à la conception schmittienne de la souveraineté telle que l'auteur du Nomos de la terre l'a recherchée dans son interprétation de Hobbes. Le recueil - conçu comme une contribution à la théorie des conditions réelles de la transformation et de l'émancipation - débouche sur la " rencontre manquée " de Lénine et Gandhi et sur le problème d'une civilisation de la révolution : unité de contraires dont le défaut équivaut pour la politique à la barbarie, dont parlait déjà Rosa Luxemburg en 1914. | ||
700 | 1 |
_3026702258 _aBalibar _bÉtienne _f1942-.... _4070 |
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720 | _4070 | ||
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